L’univers d’Harry Potter a presque 20 ans mais il est loin d’être mort. Le site officiel Pottermore te permet de découvrir quel Patronus se cache derrière ta carapace.
Le phénomène Harry Potter
Pour ceux dont l’univers est inconnu (si… il y en a!), je parle de celui de JK Rowling. En 1997, sort un livre pour enfants « Harry Potter à l’Ecole des sorciers » qui nous fait découvrir les péripéties de Harry Potter, un orphelin pas comme les autres. A 11 ans, il apprend qu’il est sorcier, qu’il doit faire sa rentrée à Poudlard et qu’accessoirement, Lord Voldemort, le mec qui a tué ses parents, lui veut du mal. #OKLM
Durant 7 tomes, on dévore les aventures de ce petit sorcier et de ses amis (#HermioneTeam) avec un succès générationnel mais aussi marketing. Livres, Films, spin-off, sites, parcs d’attractions et même pièce de théâtre… chaque événement est un phénomène ! L’univers a bercé toute la génération 90/2000 mais pas que… J’étais adolescente lorsque le 1er livre est sorti (oui, je suis vieille) et j’ai lu tous les bouquins en français ET en anglais, vu tous les films, vu l’exposition à Paris, rêve de voir celle de Londres, acheté le livre de la pièce de théâtre que je me force à lire lentement pour faire durer le plaisir. Bref, je suis fan ! Harry Potter est plus qu’un simple succès, c’estun phénomène culturel.
Un patroquoi?!
Le cadre étant posé, expliquons ce qu’est un Patronus. Dans l’univers des sorciers, les détracteurs, des âmes noires issues de la magie noire aspirent l’âme d’une personne. Pour s’en défendre, soit on fuit, soit on les affronte avec le sortilège du Patronus. En lançant un «Expecto Patronum« , sort de sa baguette un filet argenté qui se transforme en un animal qui nous représente. Un cerf pour Harry Potter, une loutre pour Hermione Granger ou encore une lévrier écossais pour Ron Weasley: un peu comme des empreintes digitales, c’est chacun le sien !
La plupart des personnes ayant grandi avec le petit sorcier à lunettes ont tous rêvé de recevoir un jour sa lettre d’admission à Poudlard ou de jouer au Quidditch. (Pour avoir assisté à plusieurs matchs dans le monde des moldus, jouer avec un balai, un vif d’or et des joueurs qui ne volent pas… c’est moins marrant !) Et ça, l’auteur et les marketers l’ont bien compris. C’est ainsi qu’est né Pottermore, LE site officiel chargé de continuer à faire vivre la magie.
Un Patronus sous forme de choix
Après s’être connecté à son compte Pottermore, on se retrouve dans une forêt mystérieuse, les connaisseurs reconnaîtront la forêt interdite. En parcourant les bois, on doit choisir quel mot nous correspond le mieux. Après une série d’adjectif, avec pas moins de 100 Patronus disponible, le résultat apparaît au bout de notre baguette.
Personnellement, j’ai été un peu déçue en découvrant que mon Patronus était un lévrier écossais. Oui, oui, le même que celui de Ronald Weasley. Un Patronus fidèle mais turbulent, maladroit et qui met les pieds dans le plat. (Hey, toi devant ton ordi, je te vois penser « Tout Natalee ça! »)
Une ambiance mystérieuse pour un site graphique
En arrivant sur le site dédié, j’ai fais un «ooooooooh, c’est beau! ». Le site nous amène dans une ambiance nocturne et froide. Parce que oui, lancer un « Expectro Patronum » n’est pas aussi simple que de lancer un « Wingardium Leviosaaaaaaaa » (Merci Hermione!). Le sorcier ou la sorcière doit faire appel à un souvenir très heureux pour réussir ce sort. Même si on ne pressent pas le danger, on doit sent qu’à travers nos choix, on doit faire appel à notre instinct de survie.
Le graphisme et la musique aussi aide beaucoup à nous transporter. Il n’est pas sans rappeler celui des excellents jeux comme Unravel, Ori ou encore Seasons After Fall. Des jeux à l’ambiance énigmatique et qui fait appel directement aux émotions.
Prêt à lancer un « Expectro Patronuuuuum » digne de celui de Daniel Radcliffe dans le 3e Tome ? Et toi, c’est quoi ton Patronus ?